L’I.E.T. avec Céline

Voici la retranscription de la vidéo ci dessous, l’interview de mon amie Céline. Cette vidéo fait partie d’une série de 3 vidéos (La 1ère vidéo de Céline sur le Reiki et son article ; la 3ème vidéo de Céline sur les constellations systémiques et familiales et son article)

⚠ IMPORTANT: Un guérisseur ne peut en aucun cas donner un avis médical, prescrire un médicament ou poser un diagnostique. Le soin énergétique ne peut se substituer à la médecine classique. L’arrêt d’un traitement médical doit se faire sous avis de votre médecin.

Pour contacter Céline, praticienne énergétique dans le Pas-de-Calais (62) :

– Maitre enseignante Reiki Usui et Karuna – Séance en IET – Séance en Reiki – Constellation systémique et familiale de groupe et individuelle – Massages

Son Facebook

Son adresse mail : clina26@gmail.com

🙏 Merci à Céline, Martin et Kalie pour ce moment d’échange et de partage !

[Céline] : “Bonjour à tous et à toutes !”

[Marine] : “Bonjour et bienvenue sur la chaîne TOUTVABIENMARINE la chaîne des guérisseurs spirituels ! Vous connaissez déjà Céline ou sinon je vous mets la première vidéo en lien. Aujourd’hui je voulais faire un point sur quelque chose qu’on ne connaît pas forcément beaucoup c’est l‘I.E.T. Je ne connais pas non plus donc Céline va pouvoir nous expliquer et nous dire comment cela fonctionne.”

[Céline] : “Alors, l‘I.E.T. c’est en fait une abréviation enfin pas une abréviation mais c’est les termes pour expliquer Thérapie d’énergie intégrée. Voilà c’est en anglais enfin américains parce que c’est une technique qui vient des États-Unis. J’ai découvert cette technique il y a à peu près trois ans. Une amie s’était formée et cherchait des cobayes. Et en fait ça m’a appelé…”

[Marine] : “A être cobaye…”

[Céline] : “Voilà a être cobaye tout de suite… et ça a quand même bouleversé ma vie ! Parce que c’est comme le reiki, on peut faire un processus sauf que là le processus il est beaucoup plus espacé que les séances Reïki. Et c’est très bien que ce soit espacé parce que ça bouscule beaucoup. En fait on va vraiment libérer. Le but de l’I.E.T. c’est de libérer des émotions négatives, des énergies négatives, des blessures, des choses qui nous encombrent, de les remplacer par des choses positives et de permettre en en fait de désencombrer notre chemin, notre chemin de vie, pour être sur le bon chemin en fait et permettre de vivre ce qu’on doit vivre en fait. ça amène à ce qu’on appelle la mission de vie. Alors en ce moment c’est un terme qui fait peur : on dit la mission de vie, or déjà les gens pensent souvent qu’on n’en a qu’une. On en a plusieurs, en fonction des étapes de notre vie. Mais ça permet vraiment d’aller là on doit être et de surtout, j’ai envie de dire, de se retrouver soi. Et moi ça m’a vraiment aidé et je pense que ça a été le début, alors autant le Reïki m’a donné un pied… enfin un pied dans la chaussette… au niveau de la spiritualité. Autant l’I.E.T. ça m’a encore plus bousculé et ça m’a permis de faire un cran encore au dessus et de vraiment aller chercher qui j’étais moi. C’est pas très français mais… de commencer à me retrouver.”

[Marine] : “C’est vrai que souvent on dit : j’aimerais trouver ma mission de vie… On en a plusieurs…

[Céline] : “C’est ça.”

[Marine] : “Dans le sens… enfin je sais pas toi…. mais moi je me dis : bah j’avais peut-être une mission de vie avant, mais maintenant que j’ai découvert tout ce qu’on sait… La spiritualité, le reiki, l’énergétique que je ne connaissais pas du tout. Finalement maintenant je me dis : ma mission de vie ça ne peut pas être la même, c’est impossible.”

[Céline] : “C’est ça.”

[Marine] : “C’est une nouvelle personne.”

[Céline] : “Exactement. Alors moi je dis toujours : pas une nouvelle personne, on se retrouve soi. En fait plutôt que de devenir quelqu’un d’autre, en fait on enlève les épluchures d’oignons, ses carapaces, on se débarrasse de ses blessures, de ses traumatismes. Et puis vraiment on apprend à être soi-même. Moi c’est vraiment cette impression que j’ai, de me retrouver. Parce que j’étais il y a encore quelques années et puis de l’assumer pleinement, plus me cacher derrière ce que je ne suis pas. Voilà donc j’ai eu envie. Donc j’ai fait tout ce processus, ça a fait beaucoup de ménage dans ma vie, au niveau de mes relations. Moi ça a vraiment été ça, parce que ça dépend en fait des gens et de ce qu’ils ont à travailler. Moi ça a été vraiment de m’affirmer, mais vraiment de m’affirmer. Et surtout de savoir dire NON. C’est à dire à être en accord avec ce que je suis, pas toujours essayer de faire plaisir à Pierre Paul Jacques. En étant dans le sacrifice, en s’oubliant soi-même. Donc ça a été vraiment ça, l’I.E.T. et ça m’a vraiment apporté ça. Et du coup j’ai eu envie d’aider les autres forcément ! Je me suis dit : il y a pas, il faut que j’aille me former.”

[Marine] : “En fait ça c’est ton cœur : toujours aider. Alors Céline, vous pouvez tout lui proposer…”

[Céline] : “Ah non, j’ai appris à dire non !”

[Marine] : “Parce que : on va venir dans la piscine, oui vous pouvez venir ! Dormir ? Oui, oui vous pouvez venir…”

[Céline] : “La maison est ouverte aux personnes qui ont des bonnes vibrations et qui sont dans le coeur, il y a jamais de problème. J’essaie de partager.”

[Marine] : “Quand tu me dis que tu as appris à dire non, je me dis : ah bon, quand ?”

[Céline] : “Si, si. J’aime partager mais pas tout non plus.”

[Marine] : “Tu as travaillé là-dessus, c’est super ! Donc pour revenir à l’I.E.T., est ce que tu peux expliquer un peu plus ? Alors toujours pareil : j’aimerais faire une séance d’I.E.T. … ?”

[Céline] : “Alors déjà souvent comme je fais également du Reiki et de l’I.E.T., les gens me connaissent par l’I.E.T. soit par le Reïki, donc il y a ce dialogue avec la personne sur ce qu’elle a envie de travailler et en fonction de ce qu’elle va me dire donc ça je ne le sais pas à l’avance. Moi, j’aime bien avoir un contact téléphonique avec les gens mais on va dire que la décision de savoir si on part vers telle ou telle technique je le fais quand la personne est là. Au téléphone c’est jamais pareil, on ne sait pas à qui on a affaire… mais c’est bien d’avoir les gens en face de soi voilà. Et je prends la décision en général avec la personne : je lui explique les deux techniques et ensuite elle choisit. Même si la personne choisie l’I.E.T. et je lui explique que déjà on va faire une première séance et après elle décide ou pas si elle part sur un processus complet. Alors neuf fois sur dix, voir même à chaque fois, les gens partent sur un processus complet, ça leur plaît. En fait donc la personne est allongée, couverte. Donc là contrairement au Reïki, ça se passe sur le dos, ça dure à peu près une petite heure et en fait là contrairement au Reïki aussi : je touche la personne. Alors de façon, quand même pas non plus comme un massage, ou en fait je vais chercher des points d’acupression. Je vais mettre mes doigts à certains endroits de la personne, sur certains points qui correspondent à certaines émotions. C’est de la tête jusqu’en bas du corps. Et ça permet de libérer ses émotions négatives dont je parlais tout à l’heure. Et surtout d’en intégrer des positive.”

[Marine] : ” D’accord et du coup souvent c’est plus d’une séance ?”

[Céline] : “Alors le processus I.E.T. c’est quatre séances minimum, quand la personne s’engage. Donc en fait qu’il faut bien comprendre c’est que c’est souvent 15 jours minimum entre deux séances et il ne faut pas excéder quatre à cinq semaines parce que sinon le processus est cassé et on travaille moins en profondeur. Donc c’est dommage faut recommencer. Et donc souvent on essaie quand même de trouver des dates et de les poser parce que chacun sa vie etc. Et il m’est arrivé chez une dame, l’année dernière, qui progressait très très vite, de faire une séance toutes les semaines. ça s’est présenté comme ça. Moi j’ai accueilli. Elle était ok, j’étais ok, je voyais que ça se passait bien. Et donc après il y a des personnes que ça bouscule beaucoup beaucoup. J’ai une jeune par exemple l’année dernière qui a fait une séance c’était trop brutal entre guillemets pour elle et du coup on est revenu sur un processus Reïki. Le Reïki c’est quand même plus en douceur. L’I.E.T. l’avantage, c’est que pour une personne qui a vraiment envie de se libérer et de voilà… de si on veut dire pour parler.. j’aime bien employer cette expression là : ça donne plus un coup de pied au cul.”

[Marine] : “C’est bon pour agir vraiment sur une blessure psychologique, on va dire ?”

[Céline] : “Alors pas forcément parce que des fois c’est le corps qui parle donc la personne à la des maux physiques qu’elle n’arrive pas à expliquer ou dont elle a envie de se débarrasser. Mais oui souvent c’est une problématique, encore une fois ça peut être une problématique d’ordre… ça peut être tout et n’importe quoi. Et on va pas forcément chercher à décortiquer. La personne si elle me dit : bah voila je ne suis pas bien en ce moment, je ne vais pas bien. Moi ça me suffit à me dire : bah voilà, elle a des choses à libérer. On va pas forcément savoir quoi exactement mais j’ai envie de dire : on s’en fiche en fait. Son âme elle sait et elle sait très bien ce qu’elle a travaillée et c’est le principal. Et la personne se sent mieux. Alors en I.E.T. la personne des fois c’est compliqué parce que ça bouscule tellement qu’on a cette phase où on peut voilà être un peu dans le flou, dans le … peut-être pas le mal être, mais voilà, c’est comme quand on commence une psychothérapie : avant de reconstruire quelque chose de positif il faut tout démolir et il y a des gens qui ne sont pas prêts à le faire. Il y en a d’autres qui sont prêts à le faire. C’est un peu comme sauter dans le vide mais après je les accompagne. Par exemple, il y a quinze jours, j’ai une dame qui pendant la séance, j’ai dû stopper et faire une petit pause parce qu’elle avait mal physiquement mais vraiment à se tordre sur la table.”

[Marine] : “Ah oui !”

[Céline] : “Et c’est la première fois que j’avais ça. J’ai accueilli, on a pris notre temps etc. Après ça a été mieux et je me suis dit qu’elle n’allait pas revenir… En fait si et la deuxième séance ça s’est bien passé. En I.E.T., d’une séance à une autre c’est vraiment des sensations qui sont complètement différentes et moi je le sais parce que je l’ai vécu aussi. C’est vraiment pas du tout les mêmes séances en fonction des gens. Et voilà on vit vraiment pas les choses de la même façon.”

[Marine] : “Finalement, le reiki c’est plus une énergie que l’on transmet, une énergie que l’on capte et que l’on redonne alors que l’I.E.T ça agit vraiment sur des points d’acupression ?”

[Céline] : “C’est ça voilà alors j’aime pas comparer les deux ou les mettre en concurrence parce que pour moi c’est complémentaire et c’est vraiment en fonction des gens. Il n’y en a pas une mieux que l’autre. C’est juste que c’est différent et que le Reïki va plus correspondre à une personne et l’I.E.T. à une autre personne. et on travaille des choses différentes. Pareil c’est là, encore une fois, c’est en fonction des gens…”

[Marine] : ” Tu t’adaptes.”

[Céline] : “C’est ça. Et puis quand je fais une séance d’IE.T., et bien j’utilise aussi le Reïki. Quand on a une boîte à outils qui se remplie, on se l’approprie, on essaie vraiment de s’adapter à la personne et se laisser guider aussi parce qu’au final enfin… moi, je fais rien, enfin : c’est les personnes qui de guérissent tout seules. Je m’adapte aussi à la personne en fonction de ce que j’ai comme outils. Ensuite je me laisse guider.”

[Marine] : “Oui, quand tu m’as appris le reiki, j’étais un petit peu perdue sur l’utilisation et je faisais vraiment les protocoles, je sais que tu n’aimes pas le mot, mais voilà je faisais vraiment… j’appliquais mais finalement après on se laisse un peu guider sur nos ressentis et ce qu’on peut transmettre.”

[Céline] : “Et c’est très bien. Oui, il faut se faire confiance, alors c’est facile à dire : moi, j’ai mis des années et je suis encore loin d’une totale confiance. Après une totale confiance j’estime que c’est pas bien non plus dans le sens où il faut faire aussi attention à ce que son ego ne prenne pas le dessus. Mais on va dire qu’avec l’expérience quand même, j’ai travaillé sur moi, j’ai progressé et de plus en plus en fait je laisse aller mes ressentis. Je me laisse guider et c’est super.”

[Marine] : “Et tu adaptes…”

[Céline] : “Voilà en fonction des gens.”

[Marine] : “Chaque personne étant différentes…”

[Céline] : “C’est ça.”

[Marine] : “Puis chaque problématique étant différentes…

[Céline] : “Exactement.”

[Marine] : ” Je vais reposer la même question : est ce que tu as une anecdote de soins en I.E.T. ?”

[Céline] : “Cette dame la semaine dernière qui a eu mal physiquement, c’était la première fois. Ensuite non pas spécialement… cette petite jeune aussi avec qui j’ai pas pu aller au bout, mais on est revenu sur autre chose et je lui ai proposé du Reiki. D’ailleurs elle s’est formée après ! Je pense que vraiment là ça a été mon élève… le reiki vraiment l’a appelé. ça l’appelait, je pense que c’était ça la raison. Alors si peut-être l’anecdote c’est sur moi : c’est vraiment que ça m’a bousculé, ça m’a ouvert. Je pense que l’anecdote elle st pour moi ça m’a vraiment aidé.

[Marine] : “Et du coup si on prend rendez vous avec toi donc du coup c’est dans le nord…?

[Céline] : ” Dans le Pas-de-Calais. Entre Arras et Douai voilà, j’habite un petit village très sympathique mais je peux me déplacer les gens aussi. J’ai une table que je peux emmener aussi chez les gens. Après les gens quand ils ont une table de cuisine, on enlève tout,…

[Marine] : “On sort les couteaux… (rires)”

[Céline] : “ça ne pose pas problème ; je m’adapte. Après bon, je fais quand même attention d’être confortable. Déjà la personne, mais moi aussi, pas me briser en deux et puis repartir complétement cassée.”

[Marine] : “Après tu dois te faire du Reïki à toi même…”

[Céline] : “Non, on va éviter !”

[Marine] : “Mais le je pense que ce que tu m’a aussi beaucoup appris : c’est qu’il fallait que la personne soit à l’aise…”

[Céline] : “J’aime mettre à l’aise les gens. Et c’est ce que j’expliquais aussi sur la vidéo en Reïki, en I.E.T. soit la personne ferme les yeux pendant toute la séance, elle a le droit de dormir, de ronfler mais la personne a également le droit de pleurer. J’ai aussi des gens… je me souviens d’une dame aussi, encore l’année dernière, sa première séance, j’avais à peine posé mes mains sur elle que c’était les flots… Les flots de larmes, les flots de spasmes… Pareil, on a dû s’arrêter, se poser et on est reparti. Et ça c’est en fonction des gens, chacun libère de façon différente. Mais je je mets un point d’honneur à ce que les gens soient à l’aise. Voilà, ça c’est vraiment important. Et surtout qu’ils n’hésitent pas à exprimer quand ils ont chaud, quand ils ont froid. Mais ça je le répète à chaque personne, et je prends mon temps. Et il y a toujours cet échange au début de la séance, évidemment après, et c’est aussi évidemment le service après vente entre guillemets, où la personne peut me téléphoner, peut m’envoyer des messages et où j’essaye de répondre aux questions. J’ai pas tout le temps les réponses mais la plupart du temps ça se passe bien.”

[Marine] : “C’est comme le Reïki, c’est pas une baguette magique.”

[Céline] : “Pas du tout ! J’aimerais bien en avoir une ! En fait c’est les gens qui ont la solution et la plupart du temps ils ne savent pas et moi je les accompagne en fait. C’est comme s’ils devaient traverser un tunnel de noir et moi je suis une lanterne qui éclair comme je peux sur leur chemin. Mais on est toujours tout seul face à ces problématiques et à ses problèmes. Et je suis bien placé pour le savoir en ce moment. Et on doit régler nos problèmes, alors je n’aime pas le terme tout seul parce qu’on n’est jamais tout seul, mais on doit aller chercher ce qu’on a besoin… En fait il n’y a que nous qui pouvons décider d’aller mieux ou pas et il y a des gens qui n’ont pas envie. Parce qu’ils sont confortables avec ce qu’ils ont et ça leur va comme ça, et c’est juste aussi. Chacun a son propre chemin et on n’est pas obligé, si on n’a pas envie de guérir sa blessure…”

[Marine] : “Chacun travaille à son rythme.”

[Céline] : “Et surtout à son rythme, il y a des gens qui ont besoin d’être bousculé. Alors moi c’est pas trop ma tasse de thé, j’aime pas trop brusquer. Moi je suis plus dans la douceur vraiment, dans l’accompagnement parce que moi aussi je pense que je n’aime pas moi même être bousculé. J’aime bien quand on m’accompagne parce que moi aussi je vais voir des thérapeutes, je travaille encore sur moi. J’aime bien la douceur.”

[Marine] : “ça te replaces un peu plus près de ton chemin de vie.”

[Céline] : “Voilà c’est ça. J’aime bien voilà quand on me dit les choses alors je dis pas qu’il faut tout enrobé et qu’on vit au pays des bisounours mais j’aime bien quand on m’apporte quelque chose que ça se fasse en douceur et pas forcément de façon abrupte. Du coup je travaille pas comme ça. Après tout est juste : il y a aussi des thérapeutes qui sont plus calmes, d’autres qui sont plus rentre-dedans entre guillemets et ça correspond à d’autres personnes.”

[Marine] : “Tu utilises le mot thérapeute, toi tu te définirais comme une thérapeute ?”

[Céline] : “C’est un grand mot, quand même.”

[Marine] : “Comme une accompagnatrice ? Un coach ?”

[Céline] : “Oui, accompagnatrice. Alors coach peut-être pas mais thérapeute ce qui m’embête c’est que j’ai l’impression de ne pas avoir de légitimité par rapport à ça parce que l’on dit toujours là après c’était certainement une barrière que je me mets mais thérapeute, on pense toujours à … psychologue… à études… etc. Je n’ai fait aucune étude de psychologie. Si, dans mes cours pour être un professeur des écoles, on voit un peu la psychologie de l’enfant mais voilà après on apprend sur le tas. Peut-être plus accompagnatrice ou praticienne. Mais c’est vrai que le mot à la mode c’est thérapeute.”

[Céline] : “Mais c’est vrai que ça se rejoint parce qu’il y a aussi beaucoup de dialogue avec la personne. Et est-ce que ça t’arrive d’avoir quelqu’un de totalement fermée et du coup tu travailles sur lui en Reiki ou en I.E.T. et tu sens tout de suite qu’il y a une problématique particulière ?”

[Céline] : “Quelqu’un qui n’aurait pas exprimé ses besoins en venant ? Non ça m’est jamais arrivé.”

[Marine] : “Il faut quand même que les gens…”

[Céline] : “Alors les gens sont pas forcément au clair avec ce qu’ils ont comme problème puisque en plus souvent quand on a un problème… C’est ce qu’on appelle l’arbre qui cache la forêt, c’est à dire que la blessure qui émergent en fait elle en cache une énorme derrière qu’on va prendre, que je ne vais pas forcément capter tout de suite. Mais… Alors si, j’ai eu une dame il y a très longtemps, quand j’ai démarré à mes débuts… C’était quelqu’un d’assez fermé, on n’a pas discuté, elle s’est allongé, j’ai fait la séance et elle est reparti en pleurant, mais vraiment pas bien. Elle m’a dit : c’était bien mais c’est trop pour moi. Et je l’ai jamais revue. C’était à mes débuts alors je me suis demandée ce que j’avais fait de mal et en fait je pense que c’est tout, c’était son chemin, et ça l’a tellement chamboulé, elle était tellement pas bien qu’elle n’arrivait même pas à mettre des mots dessus et je pense qu’elle n’était pas prête.”

[Marine] : “Des fois il faut passer par un soin énergétique pour que le corps se rappelle, pour que l’énergie se mette en route…”

[Céline] : “C’est ça.”

[Marine] : “Moi je sais que c’est… je pense que si on ne m’avait pas fait de soin Reïki à distance il y a au moins deux ans, je pense que… déjà je n’aurais pas connu du tout le reiki, et puis on s’ouvre suite à un soin parfois…”

[Céline] : “Oui, bien sûr c’est complètement ça…”

[Marine] : “Est-ce que tu as quelque chose pour terminer cette vidéo ? a ajouter sur l’I.E.T. ?”

[Céline] : ” Non, rien de particulier… venez tester ! [Rires] Venez tester parce que c’est vraiment une belle technique qui permet vraiment de se retrouver soi et d’être soi. Et de savoir qui on est.”

[Marine] : “Se redécouvrir. Tu es un miroir, miroir de l’âme. Je vous invite à me poser des questions en commentaire, si vous avez des questions à poser à Céline.

[Céline] : “Vous avez mon téléphone, il y a pas de problème.”

[Marine] : “Je mettrais son adresse mail en commentaire sinon vous envoyez comme d’habitude vos questions sur tvbmarine@protonmail.com et je pourrais lui transmettre si c’est plus facile pour vous. Merci pour vos j’aime, vos partages, vos commentaires et que je vous dis à bientôt pour une autre vidéo avec Céline puisque on tourne cette fois ci sur la Constellation familliale, parce que là aussi, c’est pas très connue donc on va faire un point sur ça !”

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